L’Académie des sciences a organisé lundi une réunion à huit clos autour de la question climatique. L’Institut de France publiera le compte-rendu encore mystérieux de cette journée dès octobre prochain, qui devrait dans ce débat, « redonner toute sa place à la science », selon Jean Salençon, le président de l’Académie.
L’évènement a réuni toutes les personnalités scientifiques qui comptent en France, matière de climat, qu’ils soient pro ou anti GIEC. De Claude Allègre, à Jean Jouzel, en passant par Vincent Courtillot, d’éminents scientifiques ont été invité à apporter leur contribution à la publication d’une position de l’Académie sur la question devenue sensible du réchauffement climatique.
« Entre rien et ce débat, c’est mieux d’avoir débattu, mais on ne peut pas rentrer dans ce domaine avec des exposés de sept minutes et en une journée », a regretté le glaciologue Jean Jouzel, chercheur au LSCE et surtout vice-Président du Groupement d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Ambitieuse, cette réunion de l’Académie des sciences accouchera-t-elle d’une souris ? C’est assez probable.
L’Académie des sciences a organisé lundi une réunion à huit clos autour de la question climatique. L’Institut de France publiera le compte-rendu encore mystérieux de cette journée dès octobre prochain, qui devrait dans ce débat, « redonner toute sa place à la science », selon Jean Salençon, le président de l’Académie.
L’évènement a réuni toutes les personnalités scientifiques qui comptent en France, matière de climat, qu’ils soient pro ou anti GIEC. De Claude Allègre, à Jean Jouzel, en passant par Vincent Courtillot, d’éminents scientifiques ont été invité à apporter leur contribution à la publication d’une position de l’Académie sur la question devenue sensible du réchauffement climatique.
« Entre rien et ce débat, c’est mieux d’avoir débattu, mais on ne peut pas rentrer dans ce domaine avec des exposés de sept minutes et en une journée », a regretté le glaciologue Jean Jouzel, chercheur au LSCE. Ambitieuse, cette réunion de l’Académie des sciences accouchera-t-elle d’une souris ? C’est assez probable.
