Alors que le cours du pétrole était au plus haut, la compagnie aérienne avait mis en place une taxe spéciale dite de « surcharge carburant » plombant d’une quinzaine d’euros le prix du billet d’avion.

Or, alors même que le pétrole connait aujourd’hui son cours le plus bas, Air France persiste à facturer cette taxe surcharge carburant à ses usagers. Une situation qui ne satisfait bien évidement pas ni les passagers des vols Air France, ni les tours opérateurs.