EPR : GDF-Suez se donne jusqu’à fin 2009

suez.jpgSuez se félicite de l’annonce faite la semaine dernière au Creusot par Nicolas Sarkozy, de la construction d’un deuxième réacteur nucléaire de type EPR en France.

Selon l’énergéticien, dans un secteur en profonde mutation, cette décision contribue à la sécurité et à la compétitivité de l’approvisionnement énergétique de la France et de l’Europe, ainsi qu’à la politique de lutte contre le réchauffement climatique. La réalisation d’un deuxième EPR en France bénéficiera à l’industrie nucléaire française au sens large.

Le Conseil d’Administration du nouveau groupe GDF-Suez arrêtera ses choix en matière de développements nucléaires en France, conformément au calendrier annoncé par le Président de la République, soit au début de 2009 au plus tard.

Echanges avec Areva

Dans l’hypothèse où GDF-Suez déciderait d’être candidat à la construction et l’exploitation de ce deuxième EPR en France, le nouveau groupe le ferait en coopération avec des partenaires électriciens français et/ou internationaux ainsi qu’avec des industriels électro-intensifs intéressés. Les équipes de Suez travaillent depuis plusieurs mois sur les différentes options et ont renforcé à cet effet les échanges et la coopération avec Areva.

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