Il faut sauver la mer d’Aral

Assechement_mer_d__Aral.JPGLe Secr�taire g�n�ral de l’ONU, Ban Ki-moon, a salu� hier la d�cision des pays riverains de la mer d’Aral de d�battre de la gestion de l’eau, notamment face aux changements climatiques. Dans un rapport au Conseil de s�curit� sur le Fond international pour sauver la mer d’Aral, qui se r�unit � Almaty, au Kazakhstan, le Secr�taire g�n�ral se dit encourag� de ce qu’une telle question �cologique soit discut�e au plus haut niveau.

« Le Fonds international a une position id�ale pour faciliter le d�veloppement de solutions b�n�fiques durables entre pays d’Asie centrale« , y affirme-t-il, soulignant que « toute discussion sur la mer d’Aral doit reconna�tre la menace croissante des changements climatiques« .

« Les Nations Unies consid�rent que la volont� des dirigeants � trouver des solutions mutuelles dans ce domaine est extr�mement importante« , a d�clar� � cet �gard le repr�sentant sp�cial du Secr�taire g�n�ral pour l’Asie centrale et chef du Centre r�gional pour la diplomatie pr�ventive de la r�gion, Miroslav Jenca, qui participait au sommet d’Almaty.

Ce dernier a offert l’assistance de ses bons offices pour la r�gion.

Selon la presse, la mer d’Aral est en cours d’ass�chement depuis les ann�es 1960. En 2007 il ne restait plus que trois lacs repr�sentant 10% du bassin de la mer qui �tait autrefois une masse d’eau unique. L’accroissement de la salinit� a tu� pratiquement toute trace de faune et de flore.

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